Question 1
Encyclopédie participative
Aucune définition trouvée[1]
Wikidien
Aucune définition trouvée
Wikianniversaire
Aucune définition trouvée
Contenu collaboratif
Aucune définition trouvée
Auto-organisation (self organizing)
GDT : Pertaining to the ability of a system to arrange its internal structure.
Wikisceptique
Aucune définition trouvée
Encyclopédie numérique
Aucune définition trouvée
Outil collaboratif
Termium Plus : Le groupe POLDOC - groupe de recherche bibliothéconomique appliquée aux outils des politiques documentaires - propose un nouvel outil, WikiPoldoc. Cet outil collaboratif destiné aux responsables d'acquisition et de gestion de collections devrait leur permettre « d'échanger, regrouper et mutualiser les outils pratiques d'acquisition et de sélection ».
Contributeur
Termium Plus : Internaute «co-auteur» qui crée et/ou modifie les articles [d'un wiki].
Intelligence collective
Termium Plus : Les développements technologiques du dit «Web 2.0» ou encore Web sémantique permettent le développement d'une intelligence collective sur Internet. Des outils tels que les Wiki, les [signets sociaux], les moteurs sociaux de recherche (par exemple Lycos IQ) favorisent l'échange et le partage de connaissance en s'appuyant sur la mutualisation du travail (rédaction, recherche d'information, expertise) de tout un chacun.
Page numérique
Aucune définition trouvée
Mode binaire
Termium Plus : Mode de représentation des nombres (binaire ou décimal) : c'est le mode de représentation binaire qui est généralement choisi pour les nombres traités dans les applications scientifiques, dans le cas des ordinateurs où le mode d'adressage de la mémoire centrale est binaire.
Écriture collaborative en ligne
Aucune définition trouvée
Wiki
Termium Plus : Site Web susceptible d'être mis à jour facilement et rapidement par n'importe quel visiteur.
Inventerm : Site Web collaboratif où chaque internaute peut participer facilement à la rédaction du contenu. La principale caractéristique d'un site Wiki est de permettre à ses utilisateurs de modifier facilement et rapidement n'importe laquelle de ses pages.
Site Web ouvert
Aucune définition trouvée
Modèle de contenu ouvert (« contenus ouverts » dans l’article)
Inventerm : Ensemble de règles de document XML (Extensible Markup Language) stipulant qu'un élément dans un document XML peut contenir des éléments enfants et des attributs qui ne sont pas déclarés dans le schéma que le document référence.
Connaissance en partage
Aucune définition trouvée
Autorégulation
Aucune définition trouvée
Page sensible
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Salebot
Aucun autre nom
Vandalisme scriptural
Aucune définition trouvée
Informatique libre
Aucune définition trouvée
Apps
Applications ?
Savoir numérique partagé
Aucune définition trouvée
Question 2
a) Même si le mot terminologie apparaît dans la langue française pour la première fois en 1801 – il signifiait alors « abus de termes scholastiques » –, les premiers dictionnaires français consistaient en des « glossaires spécialisés expliquant le sens des mots peu connus ou obscurs ». Par ailleurs, peu à peu, des termes techniques et scientifiques sont apparus dans les dictionnaires, si bien qu’au XVIIIe siècle, les dictionnaires d’usage contiennent plusieurs de ces termes. « Le fait de répertorier des termes techniques et de les gloser n’est donc pas une activité récente dans l’histoire de la lexicographie française ». À cet égard, l’Encyclopédie de Diderot a été conçue selon une démarche qui se rapproche de la terminologie. En effet, à cette époque, on cherchait à transmettre le savoir par des listes de mots. Ainsi, « d’une certaine façon[,] on faisait de la terminologie en élaborant des encyclopédies ». C’est de ce courant encyclopédiste que sont nés les banques de données et les thésaurus techniques d’aujourd’hui.
b) Le courant linguistico-terminologique
· L’École de Vienne.
· L’École de Prague.
· L’École de Moscou.
Le courant traductionnel
Le courant aménagiste
Le courant industriel
Le courant linguistico-terminologique : Comme son nom le suggère, ce courant propose une approche linguistique de la terminologie. Il est à l’origine de plusieurs écrits théoriques et pratiques sur la terminologie. En ce sens, il tente de décrire théoriquement la terminologie.
Le courant traductionnel : Ce courant, qui lie terminologie et traduction, est celui qui a le plus significativement contribué au développement de la terminologie dans la francophonie. Dans l’optique de ce courant, les travaux de terminologie s’effectuent en relation avec les bureaux de traduction (par exemple, Bureau des traductions du gouvernement canadien), c’est pourquoi la terminologie est enseignée dans les écoles de traduction ou, dans le cas des universités, dans les programmes de linguistique. Du courant traductionnel sont nées les banques de terminologie, qui appuient les activités de traduction. Au Québec, « c’est autour des milieux de la traduction, que s’est constitué dans les années 60 le noyau de terminologues qui est à l’origine d’une activité terminologique unique au monde par l’ampleur qu’on lui a donnée. »
Le courant aménagiste : Ce courant implique deux concepts : aménagement linguistique et aménagement terminologique. Le premier correspond à un « processus planifié de changement linguistique ». Le second réfère à un « processus éclairé et réfléchi par lequel sont conçues, élaborées et implantées des terminologies dans le vécu langagier d’un groupe-cible ». Le courant aménagiste consiste à amener des changements linguistiques selon un plan déterminé et un calendrier précis grâce à l’aménagement du corpus de la langue, l’aménagement terminologique de même que la normalisation terminologique. Au Québec, les organismes responsables de l’aménagement terminologique sont l’Office québécois de la langue française et la Société des traducteurs du Québec.
Le courant industriel : Ce courant considère la terminologie comme une composante essentielle des nouvelles technologies de l’information et comme un produit issu du traitement automatique de la langue naturelle. Dans cette perspective, il regroupe les domaines de pointe suivants : la terminologie comme assistance à la traduction humaine et automatique, la terminologie à base textuelle et la terminologie assistée par informatique (la terminotique).
c) La terminotique, c’est la terminologie assistée par informatique.
d) Le rôle des terminologies est d’ordonner la connaissance, de transférer les connaissances (les savoir-faire, les technologies), de formuler et de diffuser l’information scientifique et technique, de traduire des textes scientifiques en d’autres langues de même que de stocker et de repérer l’information scientifique et technique.
e) La terminologie est une science qui grandit en raison du progrès des sciences et des technologies, de l’instantanéisation des communications, de la mondialisation de l’économie, de l’internationalisation et des politiques linguistiques.
f) Terminologie et linguistique : La terminologie, dans la mesure où elle correspond à « [l]’étude systématique de la dénomination des notions appartenant à des domaines spécialisés de l’expérience humaine et considérées dans leur fonctionnement social », fait nécessairement référence à la linguistique : on ne saurait créer de nouveaux mots sans connaissances morphologiques par exemple.
Terminologie et lexicographie : Les termes d’une terminologie sont susceptibles, s’ils passent dans l’usage, de se retrouver dans les dictionnaires usuels. Par ailleurs, le terminologue doit définir les termes qu’il propose.
Terminologie et aménagement linguistique : L’OQLF par exemple ne saurait contribuer à la préservation du français sans inventer de nouveaux mots pour désigner les nouvelles réalités.
Terminologie et traduction : Comment pourrait-on traduire efficacement sans tâcher de trouver des équivalents dans la langue d’arrivée aux termes nouveaux de la langue de départ.
Terminologie et logique / ontologie : La terminologie, il me semble, doit obéir à une certaine logique, celle du génie de la langue. Aller à l’encontre de ce génie vouerait tous les néologismes à l’échec. Pour être adopté par les locuteurs, un néologisme doit être idiomatique.
Terminologie et classification : L’activité terminologique suppose une classification des termes dans des lexiques.
Terminologie et documentation : Une fois classifiés dans un lexique, les nouveaux termes se retrouvent dans une banque de données pouvant être mise en ligne.
Terminologie et communication : Le but ultime de la terminologie n’est-il pas d’améliorer la communication ? En effet, Dubuc la définit comme « l’art de repérer, d’analyser et au besoin de créer le vocabulaire pour une technique donnée, dans une situation concrète de fonctionnement de façon à répondre aux besoins de l’usager. »
Terminologie et normalisation : L’activité terminologique peut s’accompagner d’une tentative de normalisation, car si l’on peut proposer de nouveaux mots, on peut aussi en imposer. Par ailleurs, dans le but de favoriser une bonne compréhension à l’intérieur de toute la francophonie, il y a lieu de standardiser la dénomination de certaines notions.
Terminologie et informatique : Comme en témoigne la terminotique, informatique et terminologie font bon ménage. En effet, plusieurs des tâches qu’effectuaient jadis les terminologues sont aujourd’hui réalisées à l’aide d’un ordinateur.
Question 3
Les mots de la langue n’appartiennent pas à un domaine spécialisé de l’expérience humaine. Ils se retrouvent dans les dictionnaires usuels et leur définition est limitée à l’usage qu’en fait le néophyte, non le spécialiste. Par exemple, dans la liste des vocabulaires de l’OQLF se trouve un lexique sur l’eau dans lequel figure le terme « eau effervescente », qui correspond à de l’« eau de source, minérale ou traitée, contenant du gaz carbonique ». Or ce terme est sans doute strictement utilisé dans l’industrie de l’eau embouteillée. On trouve aussi un lexique sur les figures de style dans lequel apparaît l’ « hypallage » (« figure de style qui consiste à associer syntaxiquement un mot à un autre auquel il n'est pas lié par le sens, sans toutefois perturber la signification globale de l'énoncé »). On en donne un exemple de Zola : « Un vol noir de corbeaux s’envola au loin. » Dans la liste des vocabulaires de l’OQLF figurent aussi un lexique sur la médecine et un autre sur les loisirs.
Question 4
Éléments présents | Le Petit Robert | GDT |
Prononciation | [ɔʀdinatœʀ] | Aucune |
Classe grammaticale et genre | Nom masculin | N. m. |
Étymologie | 1951, du latin ordo, ordonis | Aucune |
Domaine | Inform. | Informatique : matériel informatique |
Définition | Moins précise, plus globale. La définition proposée est plus inclusive et plus longue. Le terme est considéré dans sa polysémie. Perspective sémasiologique (du signe au signifié = du mot au concept). | Plus précise, plus spécifique, plus courte. La définition proposée ne s’applique pas nécessairement à tous les types d’ordinateurs. Le terme n’est pas polysémique. Perspective onomasiologique (du signifié au signe = du concept au mot). |
Champ lexical | Matériel; logiciel; inférence; calculateur, supercalculateur; micro-ordinateur, P. C., mini-ordinateur; informatique. | Aucun |
Expressions impliquant le mot « ordinateur » ou reliées à ce mot. | Le clavier, la souris, le système d’exploitation d’un ordinateur, la vitesse d’un ordinateur, ordinateur de bureau, ordinateur portable, enseignement assisté par ordinateur, etc. | |
Équivalent en anglais | Aucun | Computer |
Quasi-synonyme | Aucun | Ordi |
Terme non retenu | Aucun | Calculateur à programme enregistré |
Notes | Aucune | Des notes figurent en quelque sorte à titre de renseignements utiles. On y précise qu’il peut être pertinent de savoir à propos d’un ordinateur. Ex. : Un ordinateur est constitué d’une unité centrale, d’une mémoire centrale et de périphériques, comme le clavier et la souris. |
Évolution de l’usage | Aucun | L’article rend compte de l’évolution de l’usage. Ex. : L’ancienne appellation française de l’ordinateur était calculateur à programme enregistré. |
Question 5
Quelques termes du même domaine :
- ordinateur à longueur de mots fixes;
- micro-ordinateur;
- mini-ordinateur;
- ordinateur bloc-notes;
- ordinateur central;
- ordinateur de bureau;
- ordinateur de poche;
- ordinateur personnel;
- ordinateur portable;
- ordinateur à mémoire virtuelle.
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